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Qui est Laurent de Médicis et quel rôle Joue-t-il pour Michel-ange?
Diplomate et homme politique de talent, il a côtoyé, souvent protégé un grand nombre de savants, de poètes et d’artistes, parmi lesquels Andrea del Verrocchio, Léonard de Vinci, Sandro Botticelli et Michel-Ange. Il excellait lui-même dans la chasse, la poésie et le maniement des armes.
Quel artiste de la Renaissance italienne pose les fondements de l’art comme activité noble?
L’acteur principal de ce processus est Leon Battista Alberti, qui s’établit à Florence en 1434, quand la révolution figurative arrivait à son terme. Alberti cherche à donner un fondement scientifique à l’œuvre d’art.
Comment Laurent de Médicis fait de Florence une capitale de la Renaissance italienne?
Laurent de Médicis ne s’avoue pas vaincu et use cette fois de la diplomatie pour se tirer de cette situation délicate : il fait la paix avec Naples, ce qui pousse Sixte IV à négocier, et finalement à lever l’interdit en 1480. La paix permet ainsi au prince de conforter son pouvoir dans la cité florentine.
Quel est le nom de Laurent de Médicis?
Laurent de Médicis (en italien Lorenzo di Piero de’ Medici : « Laurent, fils de Pierre de Médicis »), dit aussi Laurent le Magnifique (Lorenzo il Magnifico), né à Florence le 1er janvier 1449 et mort dans la même ville le 9 avril 1492, est un homme d’État florentin et le dirigeant de facto de la République florentine durant la Renaissance.
Quelle est la fin de la vie de Laurent de Médicis?
A la fin de sa vie, Laurent de Médicis favorise l’arrivée à Florence du moine Savonarole, ce qui aura des conséquences importantes pour la suite de la vie politique de la cité florentine. En effet, malade en 1491, Laurent décède en avril 1492.
Quels sont les princes italiens de la Renaissance?
Les princes italiens de la fin du Moyen Âge et du début de la Renaissance s’illustrent par leur politique de mécénat. Parmi eux, Laurent de Médicis, dit « le Magnifique », qui s’est imposé à Florence dans la deuxième moitié du XVe siècle, par son habileté politique et sa « propagande » basée, entre autre, sur les arts.