Quels sont les facteurs qui augmentent le risque de développer une pneumonie?
Il n’a pas vocation à se substituer aux recommandations et préconisations de votre médecin ou de votre pharmacien. Certains facteurs augmentent le risque de développer une pneumonie : l’ âge : les nourrissons et les personnes de plus de 65 ans sont plus vulnérables (après 65 ans, les pneumonies sont trois à six fois plus fréquentes) ;
Quel lien entre infection pulmonaire et maladies cardiovasculaires?
Pour la première fois, des chercheurs ont établi un lien entre infection pulmonaire et risque de développer des maladies cardiovasculaires.
Quels sont les risques endogènes à l’emphysème pulmonaire?
Il existe aussi des facteurs de risques endogènes à l’emphysème pulmonaire : des infections fréquentes des voies respiratoires inférieures au cours de l’enfance, ainsi qu’une prédisposition génétique héréditaire et rare, causant un déficit en protéines alpha-1-antitrypsine (AAT).
Comment se développe la tumeur pulmonaire?
Sans traitement, la tumeur se développe dans d’autres parties du poumon, dans les ganglions lymphatiques de proximité. Des cellules cancéreuses peuvent se détacher du cancer pulmonaire et migrer par voie sanguine ou lymphatique vers d’autres organes (cerveau, os, foie…) où elles forment de nouvelles tumeurs, appelées métastases.
Quel est le facteur de risque d’infection urinaire nosocomiale?
En plus des facteurs de risque habituels de l’infection urinaire communautaire, le principal facteur de risque de l’infection urinaire nosocomiale est l’existence d’une sonde urétrale. Le risque d’infection urinaire nosocomiale est multiplié par plus de 10 en cas de sondage à demeure et augmente avec la durée du sondage.
Pourquoi les infections nosocomiales augmentent la mortalité?
Les infections nosocomiales augmentent la morbidité et la mortalité. Le patient en réanimation est déjà dans un état préoccupant ; il est fragile avec de nombreuses défaillances viscérales.
Quel est le taux d’infections nosocomiales à l’hôpital?
Une enquête nationale de prévalence de 1996 a montré que 8\% des patients présents un jour donné à l’hôpital étaient porteurs d’une infection nosocomiale. Le taux d’infections nosocomiales varie en fonction de la spécialité. En effet, il est quatre fois supérieur dans les services de réanimation que dans les services de médecine ou de chirurgie.