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Quelle est la figure du monstre?

Quelle est la figure du monstre?

La figure du monstre est l’un de ces types littéraires facilement abordables au collège et il existe de nombreuses œuvres, tant dans la littérature de référence que dans celle écrite pour la jeunesse, qui permettent des exploitations pédagogiques variées.

Quels sont les monstres de la littérature?

Les monstres de la littérature constituent un monde hétérogène : hommes (Dracula) et objets (l’éponyme Bête humaine ou l’alambic dans l’Assommoir chez Zola par exemple), êtres déformés ou difformes (le Cyclope, Quasimodo, Mr Hyde…) et êtres hybrides venus tout droit de l’imagination de leur créateur, nés d’un croisement.

Comment étudier les monstres?

Toutefois, en référence aux programmes, on peut évoquer d’autres pistes pédagogiques pour étudier ces monstres : une séquence de repérage du texte descriptif (portrait des monstres) une séquence de travail autour des ouvrages documentaires : dictionnaires et encyclopédies…

Quelle est la place du monstre dans l’esthétique du XVIIIème siècle?

La place du monstre dans l’esthétique du XVIIème et du XVIIIème siècle hommes (Dracula) et objets (l’éponyme Bête humaine ou l’alambic dans l’Assommoir chez Zola par exemple), êtres déformés ou difformes (le Cyclope, Quasimodo, Mr Hyde …) et êtres hybrides venus tout droit de l’imagination de leur créateur, nés d’un croisement.

Quels étaient les monstres?

Les monstres étaient autrefois des bêtes, insectes et dragons géants qui attaquaient les humains. Ils étaient de véritables abominations, mais depuis l’ascension de l’actuel seigneur des démons, leur forme est devenue humaine.

Comment on retrouve les monstres dans les contes?

On retrouve également la figure des monstres dans des contes d’autres cultures (les contes africains, les Mille et Une nuits). On peut également penser à exploiter les différents monstres dans les contes régionaux, chaque région possédant en quelque sorte « sa » créature.

Comment exploiter les monstres dans les contes régionaux?

On peut également penser à exploiter les différents monstres dans les contes régionaux, chaque région possédant en quelque sorte « sa » créature. L’exemple le plus parlant serait la Bête du Gévaudan, mais bien d’autres régions ont tissé leurs contes autour de figures monstrueuses.

Est-ce que le monstre est devenu bourreau?

Mais elle a surtout été marquée par M. M comme Monstre, M comme Malade, M comme Manipulateur, M comme la première lettre de son prénom. Le prince est devenu bourreau, le chevalier est devenu vautour. Le Monstre est un récit bouleversant, poignant. Ce n’est pas celui d’une lointaine étrangère, c’est celui d’Ingrid Falaise.

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