Est-ce que la masculinité hégémonique est toujours présente?
Les récits montrent que la masculinité hégémonique est toujours présente, que ce soit au cœur de processus de socialisation ou comme une attitude partiellement adoptée (assumée ou rejetée). Ces récits de vie d’hommes gays s’articulent à d’autres récits représentant d’autres formes de masculinités.
Quel est le concept originel de l’hégémonie culturelle?
Le concept originel se base sur la théorie de l’ hégémonie culturelle d’ Antonio Gramsci, alors très en vogue. Ainsi, l’adjectif « hégémonie » était utilisé pour tenter de comprendre la stabilisation des relations entre les différentes classes sociales. Cette idée a ensuite été réappropriée par les études de genre.
Pourquoi le Royaume-Uni était une puissance hégémonique?
Le Royaume-Uni était une puissance hégémonique qui utilisait sa force pour maintenir le système économique international. Après la première guerre mondiale cependant, elle n’avait plus la force d’agir ainsi.
Qui est le précurseur de la théorie de la grande crise mondiale?
Charles Kindleberger est généralement reconnu comme le précurseur de la théorie exposée pour la première fois dans son livre La Grande Crise mondiale 1929-1939.
Pourquoi l’adhésion à la masculinité hégémonique?
Cette acception de la masculinité hégémonique découle de l’adhésion de Connell à une idée féministe fondamentale : les rapports entre les genres sont des rapports d’oppression et de domination (Carrigan, Connell et Lee, 1987, 140). Cette idée est explorée et développée plus avant par Connell elle-même…
Quelle est la masculinité dominante?
Elle distingue 4 types de masculinités qu’elle hiérarchise (cf. ci-contre). La masculinité dominante est la masculinité hégémonique, celle à laquelle on pense immédiatement quand nous essayons de représenter “l’homme”, c’est donc à elle que je vais m’intéresser dans le reste de l’article.
Est-ce que la masculinité est présente dans son œuvre?
Il est présent dans son œuvre Masculinités. Enjeux sociaux de l’hégémonie, où l’auteure s’intéresse davantage à l’expression de la masculinité plutôt qu’au « rôle masculin ». Elle présente de cette manière une typologie des masculinités, déclinée sous quatre formes.