Table des matières
Comment vivre avec un homme diabétique?
Vivre avec une personne diabétique
- Faites de votre mieux : ne vous demandez pas l’impossible.
- Favorisez le développement de son sentiment de responsabilité
- Recherchez de l’information de qualité
- Encouragez l’adhésion au traitement.
- Soulignez les succès.
- Parlez au « je »
- Donnez l’exemple.
- Apprenez à dire non.
Est-ce que les diabétiques sont nerveux?
Le diabète peut atteindre l’ensemble des nerfs de l’organisme. Il touche deux types de nerfs : les nerfs périphériques qui permettent de commander les muscles et de sentir au niveau cutané; et les nerfs du système nerveux autonome qui commandent le fonctionnement des viscères.
Comment expliquer le diabète?
L’impact sur la vie familiale, sociale et psychique implique nécessairement des adaptations. Le diabète est souvent vécu comme un bouleversement. Même s’il influence fortement la vie, l’enfant, l’adolescent ne se résume pas à sa maladie. On dit : « Il a un diabète », plutôt que : « Il est diabétique ».
Pourquoi le diabète est vécu comme un bouleversement?
Le diabète est souvent vécu comme un bouleversement. Même s’il influence fortement la vie, l’enfant, l’adolescent ne se résume pas à sa maladie. On dit : « Il a un diabète », plutôt que : « Il est diabétique ». C’est le même enfant, avec une maladie. Un enfant avec un diabète est d’abord un enfant.
Pourquoi la survenue du diabète chez un enfant?
La survenue, puis la présence du diabète chez un enfant ou un adolescent ne peut être vécue comme une situation banale. L’impact sur la vie familiale, sociale et psychique implique nécessairement des adaptations. Le diabète est souvent vécu comme un bouleversement.
Pourquoi le diabète devient la maladie narcissique des parents?
Le diabète devient alors la blessure narcissique des parents et non pas la maladie de l’enfant avec laquelle il doit apprendre à vivre. Mais cela est sans compter sur la capacité de l’enfant lui-même, non par intention mais de part sa place, à faire résistance au projet narcissique dont il se sent l’objet.