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Comment utiliser les gouttes pour les yeux chez les enfants?
Gouttes pour les yeux : attention avec certains collyres chez les enfants. Les gouttes pour les yeux utilisées pour dilater la pupille lors d’examens ophtalmologiques sont à utiliser avec de grandes précaution chez les enfants, explique une publication de l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé).
Comment diagnostiquer une crise de goutte?
Lorsque le patient a des crises récurrentes typiques des crises de goutte, avec hyperuricémie, il est raisonnable d’établir un diagnostic clinique. En dehors des symptômes cliniques, une analyse de sang et/ou un dosage de l’acide urique contenu dans les urines (dosage urinaire) permettent généralement de confirmer le diagnostic.
Quels sont les traitements pour affliger les yeux?
Les yeux peuvent être affligés par plusieurs maladies et, bien souvent, ces dernières nécessitent des traitements à appliquer directement dans ceux-ci. Ce sont des traitements que l’on dit « ophtalmiques ». De tels médicaments se présentent souvent sous forme de gouttes, de gel ou de pommade (onguent).
Comment appliquer une goutte dans l’œil?
Assurez-vous que la goutte a bien été déposée dans l’œil. Si le produit se présente sous forme de pommade ou de gel, appliquez-en une mince couche tout au long de la partie intérieure de la paupière inférieure, en commençant près du nez puis en continuant vers l’extérieur de l’œil.
Comment faire attention à la goutte à la joue?
Il faut, selon elle, également faire attention au reste de goutte qui s’écoule le long de la joue pour éviter toute ingestion et le risque que le produit passe à travers la peau du visage.
Comment éviter le surdosage des gouttes?
Dans son rapport, elle recommande de faire particulièrement attention au surdosage, de ne pas hésiter à réduire la taille des gouttes et de surveiller l’enfant au moins 30 minutes après l’instillation.
Est-ce que ces gouttes oculaires entraînent des troubles digestifs?
Il semblerait que ces substances entraînent des problèmes digestifs, des troubles neuropsychiatriques (convulsions, délire, agitation) ou encore des troubles thermiques. En vérité, les autorités sanitaires américaines avaient déjà mis en garde en octobre contre ces gouttes oculaires.