Table des matières
- 1 Comment se trouve la science assimilée à la philosophie?
- 2 Pourquoi la science se pose en rupture avec la philosophie?
- 3 Est-ce que la Grèce antique n’ait pas développé de science?
- 4 Quelle est la conception désintéressée de la science?
- 5 Quels sont les liens entre la science et la société?
- 6 Est-ce que la science a focalisé son attention sur des problèmes à court terme?
- 7 Pourquoi les scientifiques choisissent de faire ce métier?
- 8 Pourquoi l’enseignement et les pratiques y sont associées?
Comment se trouve la science assimilée à la philosophie?
4 Dans un premier temps, la science se trouve purement et simplement assimilée à la philosophie, dans la mesure même où cette dernière se veut recherche systématique de la vérité, ce qui implique une démarche de rupture avec l’opinion (doxa), c’est-à-dire l’ensemble des « préjugés » qui nous tiennent lieu ordinairement de pensée.
Pourquoi la science se pose en rupture avec la philosophie?
La science, c’est-à-dire la philosophie, se pose ainsi en rupture avec l’ensemble des préjugés, des idées reçues, des opinions reçues en notre « créance », dit Descartes, depuis notre prime enfance. 7Pour autant, il est remarquable que la Grèce antique n’ait pas développé de science, du moins au sens moderne de ce mot.
Quelle est l’objectivité du savoir scientifique?
L’objectivité du savoir scientifique veut se substituer à la subjectivité de l’opinion, indémontrable et indémontrée, arbitraire et gratuite. La science s’oppose ainsi à la religion (qui se réfère à une « vérité révélée », c’est-à-dire à un « dogme »), et à tout autre « savoir » incapable de se fonder en raison.
Est-ce que la Grèce antique n’ait pas développé de science?
7 Pour autant, il est remarquable que la Grèce antique n’ait pas développé de science, du moins au sens moderne de ce mot. Cette absence de constitution d’une véritable science constitue d’ailleurs une manière d’énigme au sujet de laquelle les spécialistes de la pensée grecque discutent à perte de vue.
Quelle est la conception désintéressée de la science?
C’est la conception « désintéressée » de la science conçue par la philosophie grecque qui survécut jusqu’à la naissance de la science moderne, et dut lentement laisser la place à une toute autre compréhension des rapports entre théorie et pratique, c’est-à-dire science pure et science appliquée.
Quelle est la théorie de la conscience de soi?
Les psychologues Shelley Duval et Robert Wicklund ont développé la théorie de la conscience de soi . «Lorsque nous concentrons notre attention sur nous-mêmes, nous évaluons et comparons notre comportement actuel à nos normes et valeurs internes. Nous devenons conscients de nous-mêmes en tant qu’évaluateurs objectifs de nous-mêmes.
Quels sont les liens entre la science et la société?
En prévision de la Conférence mondiale sur la science de 1999, le groupe s’est penché sur de nombreux aspects des liens entre la science et la société – points forts et faibles, avantages, écueils et possibles orientations futures.
Est-ce que la science a focalisé son attention sur des problèmes à court terme?
Et dans de nombreux cas, la science a focalisé son attention sur des problèmes à court terme et de petite échelle, souvent selon un mode monodisciplinaire, plutôt que sur des problèmes à plus long terme et de plus grande échelle.
Comment les sciences mettent sur la voie de la philosophie?
Les sciences mettent sur la voie de la philosophie, au sens de « discours sur la sagesse » ; inversement, la philosophie procure aux sciences un fondement assuré. L’utilisation de la dialectique, qui est l’essence même de la science complète alors la philosophie, qui a, elle,…
Pourquoi les scientifiques choisissent de faire ce métier?
Les scientifiques choisissent de faire ce métier, car ils sont fondamentalement curieux à propos du monde qui les entoure et de la façon dont les choses fonctionnent. La curiosité les amène à rechercher le pourquoi et le comment de ce qu’ils ont sous les yeux, même si cela prend des années.
4 Dans un premier temps, la science se trouve purement et simplement assimilée à la philosophie, dans la mesure même où cette dernière se veut recherche systématique de la vérité, ce qui implique une démarche de rupture avec l’opinion (doxa), c’est-à-dire l’ensemble des « préjugés » qui nous tiennent lieu ordinairement de pensée.
L’objectivité du savoir scientifique veut se substituer à la subjectivité de l’opinion, indémontrable et indémontrée, arbitraire et gratuite. La science s’oppose ainsi à la religion (qui se réfère à une « vérité révélée », c’est-à-dire à un « dogme »), et à tout autre « savoir » incapable de se fonder en raison.
C’est la conception « désintéressée » de la science conçue par la philosophie grecque qui survécut jusqu’à la naissance de la science moderne, et dut lentement laisser la place à une toute autre compréhension des rapports entre théorie et pratique, c’est-à-dire science pure et science appliquée.
7 Pour autant, il est remarquable que la Grèce antique n’ait pas développé de science, du moins au sens moderne de ce mot. Cette absence de constitution d’une véritable science constitue d’ailleurs une manière d’énigme au sujet de laquelle les spécialistes de la pensée grecque discutent à perte de vue.
Pourquoi l’enseignement et les pratiques y sont associées?
4 L’enseignement et les pratiques qui y sont associées (Kruger & Tomasello, 1996 ; Strauss, 2005) sont des activités sociales complexes, soutenues ou facilitées par de nombreux processus cognitifs et capacités parmi lesquels le langage, l’étayage, la lecture des intentions d’autrui.
Quelle est la notion d’enseignement?
La notion d’enseignement dans la philosophie de l’Éducation. 7La philosophie de l’éducation cherche depuis longtemps à mieux caractériser la notion d’enseignement (Reboul, 1981 ; Scheffler, 2003). Au cours du temps ont été considérées ses relations avec, notamment, l’apprentissage et l’intentionnalité.