Est-ce que la littérature orale est universelle?
N’étant pas fixé par l’écriture, le folklore oral est en perpétuel devenir. Les contes populaires se sont transmis jusqu’à nous dès les premiers balbutiements de la civilisation française. Le XIXe siècle reste l’âge d’or du conte traditionnel, et les conteurs y étaient populaires.
Qui sont les porteurs de l’oralité médiévale?
C’est ainsi que François Suard, Danièle Buschenger, Jean-Pierre Martin ont fondé un groupe de recherche sur l’épopée où ont été associés notamment des africanistes comme Bassirou Dieng, Lilyan Kesteloot, Christiane Seydou, Ursula Baumgardt…
Comment le conte?
Le conte commence généralement par une formule d’ouverture : « il était une fois », « il y a bien longtemps », etc. Mais rien ne vous empêche de vous distinguer et de trouver votre propre ton en débutant votre récit par une tournure encore jamais vue.
Quels sont les thèmes sociaux de la littérature?
Des thèmes sociaux dont la littérature s’emparera dès lors très souvent, de Victor Hugo avec ses Misérables à Zola dans ses récits naturalistes peignant des milieux divers ( Germinal, L’Assommoir, etc.).
Pourquoi je réagis contre la lecture de la littérature?
Le psychologisme des manœuvres, les histoires littéraires, le pseudo-historicisme de l’école lansonienne, faisaient que ces rapports nous paraissaient très mal posés. Par conséquent, je réagis d’abord à court terme contre un certain type de lecture de la littérature.
Est-ce que la littérature a changé?
Le moins que l’on puisse dire, c’est que peu de choses ont changé et la plupart des nuits, j’aime lire – pour trouver cette sensation d’évasion, le plus loin possible de la réalité. Mais la littérature est plus que cela. Elle a transcendé le temps et est toujours avec nous, formant des parties critiques du programme d’enseignement actuel.