Table des matières
- 1 Est-ce que la théorie est le propre de la science politique?
- 2 Quelle est la nature de la théorie politique?
- 3 Quels sont les objectifs de la politique économique conjoncturelle?
- 4 Quel est le mécanisme économique qui justifie cette politique?
- 5 Comment comparer les régimes politiques?
- 6 Quel est le terme de théocratie?
- 7 Comment confondre l’idéologie et la religion?
- 8 Quels sont les aspects de la croyance?
Est-ce que la théorie est le propre de la science politique?
L’utilisation de la théorie n’est pas le propre de la théorie politique. On peut dire que dans toute discipline de la science politique, on mobilise la théorie. Nous allons mettre en avant une dimension qui n’est pas prévue par la théorie analytique qui est la dimension normative.
Est-ce que la famille a un rôle dans la formation politique?
» [7] Ces corrélations ne disent cependant rien du rôle de la famille dans la formation politique de l’individu. Est-elle le lieu d’une socialisation proprement politique, ou ne fonctionne-t-elle que comme courroie de transmission d’une appartenance de classe et du comportement politique qui s’y rapporte?
Quelle est la nature de la théorie politique?
Jean Leca fait une bonne description de ce quasi état de nature disciplinaire : 10 Dans ses usages actuels la théorie politique n’est pas plus un paradigme qu’une collectivité scientifique (ou cognitive) : ce n’est pas un construit social permettant de résoudre des énigmes en nous fournissant une « manière de voir ».
Est-ce que nous utilisons des théories?
La première est que, comme le remarque Clayton Christensen déjà cité plus haut, nous utilisons des théories tous les jours, dans notre vie quotidienne. Toute décision que nous prenons, petite ou grande, est basée sur une théorie que nous avons entre une cause et un effet, mais souvent nous n’en n’avons pas conscience.
Quels sont les objectifs de la politique économique conjoncturelle?
Les objectifs de la politique économique conjoncturelle sont la croissance du PIB, le plein emploi, la stabilité des prix ainsi que l’équilibre des échanges et des paiements extérieurs.
Qu’est-ce que la politique conjoncturelle?
La politique conjoncturelle. Qu’est-ce que la politique économique conjoncturelle? La politique économique conjoncturelle vise à réguler l’activité à court terme pour garantir une croissance forte sans déséquilibres (chômage, inflation, déficit budgétaire…). Elle peut être procyclique ou contracyclique.
Quel est le mécanisme économique qui justifie cette politique?
Le mécanisme économique qui justifie cette politique est le suivant : l’augmentation des dépenses publiques et la diminution des impôts déclenchent une hausse du revenu disponible des ménages et une hausse de la consommation, ce qui engendre une hausse de la production des entreprises et donc une hausse de l’emploi.
L’utilisation de la théorie n’est pas le propre de la théorie politique. On peut dire que dans toute discipline de la science politique, on mobilise la théorie. Nous allons mettre en avant une dimension qui n’est pas prévue par la théorie analytique qui est la dimension normative.
Quelle est la légitimité politique?
Revue internationale des sciences… La légitimité politique : nouveauté… 1 L e concept de légitimité est au cœur de la pensée politique depuis des siècles. Chez Platon, il fonde l’idée de justice, et c’est aussi sur lui qu’Aristote fait reposer sa distinction entre monarchie, aristocratie et démocratie.
Comment comparer les régimes politiques?
Pour les comparer, on peut classer les régimes politiques sur une échelle imaginaire allant d’un maximum à un minimum de légitimité, de l’approbation massive à un consentement plus ou moins réservé pour finir avec un rejet en bonne et due forme. C’est là, et là seulement, que l’on peut parler vraiment d’illégitimité (Hertz, 1978, p. 230).
Jean Leca fait une bonne description de ce quasi état de nature disciplinaire : 10 Dans ses usages actuels la théorie politique n’est pas plus un paradigme qu’une collectivité scientifique (ou cognitive) : ce n’est pas un construit social permettant de résoudre des énigmes en nous fournissant une « manière de voir ».
Est-ce que la théocratie est coextensive?
Pour Spinoza, la théocratie est au contraire le moyen d’éviter toute forme d’extrémisme politique. Chez Spinoza, l’idée de démocratie dans le sens d’un régime politique qui respecte les libertés est coextensive de celle de théocratie .
Quel est le terme de théocratie?
Le terme de théocratie est devenu de manière imprécise synonyme de dictature, d’État totalitaire ou de confusion du politique et du religieux.
Quel est le critère essentiel de l’idéologie?
Pour de nombreux sociologues, le critère essentiel de l’idéologie est le refus de l’objectivité scientifique. Malgré tout, ils s’en servent bien souvent pour dénoncer les prétentions mystificatrices des analyses adverses pourtant propres à leur discipline.
Comment confondre l’idéologie et la religion?
Cependant, il ne faut pas confondre l’idéologie et la religion : l’idéologie n’entretient aucun rapport avec les notions de transcendance ou de surnaturel. Elle ne s’appuie pas sur les mystères d’une révélation, mais cherche plutôt des bases rationnelles, voire scientifiques.
Comment sont élaborées les idéologies?
Les idéologies sont élaborées par des individus possédant un haut niveau de capital culturel et une autorité légitime reconnue : les entrepreneurs, les scientifiques médiatiques, les intellectuels consacrés, les journalistes influents ou les dirigeants de mouvements représentatifs.
Quels sont les aspects de la croyance?
Dans le cours qui suit nous examinerons quelques aspects de la croyance, d’abord la croyance religieuse et ses déviations superstitieuses, les négations de la religion (dans l’athéisme) qui peuvent être aussi des croyances, les croyances des sectes, et la mentalité magique. La foi se manifeste à travers le phénomène religieux.
Comment faire en sorte que les raisons de la croyance soient reconnues?
On doit toujours, dans l’idéal, faire en sorte que les raisons de la croyance puissent être reconnues comme étant également des raisons de la vérité de la proposition concernée, et non des raisons ou des causes d’une autre nature. Or c’est une exigence que la religion est par essence incapable de satisfaire.