Quels sont les robots de guerre?
D’énormes robots de guerre, capables d’emporter des mitrailleuses, lance-roquettes etc. Le contexte reste flou… le but est simple et clair en revanche : baston. Détruire les robots adverses et gagner les parties. C’est le principe même du jeu : puisqu’il s’appelle « War Robots », il doit bien avoir des robots dans l’histoire !
Quelle est l’histoire d’un robot?
C’est dans cette œuvre dystopique que va naître le terme « robot » : l’histoire d’une entreprise où les robots supplantent progressivement les hommes, pour une activité toujours plus efficace et rentable.
Pourquoi l’idée d’introduire des robots dans la formation?
L’idée d’introduire des robots, des objets connectés ou de l’Intelligence Artificielle dans le monde de la formation passait encore récemment pour de la science-fiction. Aujourd’hui, c’est une réalité qui ouvre des perspectives infinies pour l’apprentissage mais qui suscite bien des questionnements.
Combien de armes pour un robot?
Ainsi, un tout petit robot pourra emporter seulement 2 armes légères par exemple, quand un gros et puissant pourra s’équiper avec 2 armes lourdes + 2 armes légères. Les armes légères vont compter parmi elles des mitrailleuses, des petits lance-roquettes ou encore des lasers.
Quelle est la moyenne d’âge des joueurs réguliers?
53 \% des Français sont des joueurs réguliers, 74\% jouent occasionnellement. La première chose que l’on remarque dans cette étude est que 53 \% des Français âgés de 10 à 65 ans sont des joueurs réguliers et que la moyenne d’âge est de 35 ans. Néanmoins, la plupart des joueurs sont plus âgés, chez les hommes en moyenne 37 ans et chez les femmes 34.
Quelle est la proportion des joueurs excessifs de jeux d’argent et de hasard?
En 2019, les Français ont consacré environ 10\% de leur budget loisirs aux jeux d’argent et de hasard, en hausse de 12,5\% sur les cinq dernières années, ce qui représente pour les joueurs une dépense moyenne de 400 euros par an. Selon l’étude de l’OFDT, la proportion des joueurs excessifs a doublé en cinq ans, passant de 0,8 à 1,6\%.