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Quelle est la théorie du chewing-gum?
La théorie du chewing-gum bénéfique pour le cerveau avait été établie en 2002 par des chercheurs de l’University of Northumbria au Royaume-Uni. Des tests avaient montré que les mangeurs de chewing-gum pouvaient améliorer leur mémoire et leurs compétences cognitives.
Quels sont les bienfaits du chewing-gum?
Heureusement non, d’autres études sur les bienfaits du chewing-gum pourront consoler ceux qui espéraient entretenir leur mémoire : par exemple, il a été démontré que le chewing-gum est bon pour éviter le grignotage et donc la prise de poids, et pourlutter contre le stress… Jusqu’à preuve du contraire!
Est-ce que le chewing-gum compliquerait la mémorisation?
Autre déconvenue, le chewing-gum compliquerait l’effort de mémorisation des numéros manquants d’une liste donnée, relève le journal australien en ligne Gizmodo. Cette étude sème le doute sur les prétendues vertus du chewing-gum.
Quels sont les conservateurs dans les chewing-gums?
Les conservateurs sont présents dans tous les chewing-gums, de même de : les édulcorants qui remplacement souvent le sucre. L’Autorité européenne de sécurité des aliments a cependant jugé la plupart des études sur le sujet comme insuffisantes, et n’a pas tranché sur le sujet.
Comment mâcher un chewing-gum sans sucre?
Ainsi, chez des personnes devant retenir une série de lettres, celles qui mâchaient de la gomme faisaient en moyenne 10 \% d’erreurs en plus que celles qui n’en mâchaient pas. L’Union française de santé buccodentaire (UFSBD) (7) préconise de mâcher un chewing-gum sans sucre pendant vingt minutes après le repas de midi.
Comment le chewing-gum diminue la dépression?
Toujours grâce à la production de salive, le chewing-gum empêcherait le développement des bactéries dans la bouche. 6/8. Prévient la dépression. Si le chewing-gum n’est pas un antidépresseur, il pourrait en réduire les symptômes comme la perte d’appétit.