Est-ce que la femme enceinte peut prendre vitamine C?

Est-ce que la femme enceinte peut prendre vitamine C?

Grossesse : Les données scientifiques actuellement disponibles n’ont pas mis en évidence de problème particulier lors de l’utilisation de vitamine C pendant la grossesse. Néanmoins, l’usage de ce médicament chez la femme enceinte est rarement indispensable. Ne l’utilisez pas sans avis médical.

Pourquoi prendre des vitamines de grossesse?

C’est pourquoi on doit veiller, tout au long de notre grossesse, à consommer des vitamines en quantités suffisantes. Essentiel, l’acide folique (vitamine B9) favorise le bon développement de l’embryon. La vitamine D aide à la formation du squelette de notre bébé, tandis que la vitamine A dope sa croissance.

Comment utiliser la cétirizine pendant la grossesse?

On peut utiliser la cétirizine quel que soit le terme de la grossesse. Si un anti-H1 doit être poursuivi, la cétirizine pourra être utilisée quel que soit le terme de la grossesse. Pendant l’organogenèse (période qui va de 4 à 10 semaines d’aménorrhée révolues), la préférence ira vers les molécules anciennes ayant fait…

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Quelle est la dose de vitamine C chez la femme enceinte?

De plus en plus de femmes renoncent à la chirurgie esthétique et utilisent cette pilule à la place. La vitamine C, quels apports? Les autorités sanitaires françaises recommandent un apport quotidien en acide ascorbique de 60 mg pour un adulte contre 80 mg chez la femme enceinte.

Quel est le meilleur traitement pour la grossesse?

Ceci peut représenter un réel confort pour la patiente et un bénéfice non négligeable pour le fœtus et le nouveau-né, surtout si le traitement doit durer longtemps. A titre d’exemple, on peut proposer pour cette période de la grossesse, notamment la cétirizine (ZYRTEC® et VIRLIX®) ou la loratadine (CLARYTINE®).

Comment prendre un antihistaminique en début de grossesse?

En cas de prise d’un autre antihistaminique en début de grossesse, aucun élément ne justifie d’inquiétude à ce jour et tout au plus peut-on proposer, si le traitement doit se prolonger, un relais par une des molécules citées jusqu’à la fin de l’organogenèse*.

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