Qui sont les gagnant de la mondialisation?
Du côté des salariés, dans les pays hautement développés, les gagnants de la mondialisation sont ceux qui travaillent dans les fonctions stratégiques des FMN. Ils ont fait des études supérieures de niveau licence, voire master. Ils parlent anglais, et si possible une seconde langue, en plus de leur langue maternelle.
Quels sont les désavantages de la mondialisation?
Une des critiques la plus fréquemment émise à propos de la mondialisation des échanges commerciaux est qu’elle conduit à délocaliser des emplois, surtout des emplois industriels, des pays développés vers des pays en voie de développement.
Qui sont les grands gagnants et les grands perdants de la mondialisation?
Ce processus a toujours eu des gagnants et des perdants, qui sont tous deux présents dans les pays riches et pauvres. Les multinationales des pays à hauts revenus et leurs actionnaires figurent parmi les gagnants.
Quelle est la mondialisation?
La mondialisation est étroitement liée au développement des nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC). Elle profite, aussi bien dans les pays à hauts revenus qu’à moyens revenus, à la frange de travailleurs les plus qualifiés.
Pourquoi la mondialisation est remarquable?
Cette évolution est remarquable, car les spécialistes de l’économie internationale ont longtemps pensé que la mondialisation profiterait aux personnes les plus qualifiées dans les pays à hauts revenus, évolution qui a bien été observée en pratique.
Pourquoi la mondialisation favorise l’accès aux cultures étrangères?
Certes, la mondialisation favorise l’accès aux cultures étrangères, mais elle tend également à fusionner les cultures entre elles. Le succès rencontré par certaines cultures partout sur la planète a amené certains pays à imiter d’autres styles de vie et de culture que la leur.
Quels sont les perdants de la population?
Les perdants constituent l’immense majorité de la population. En effet, les richesses naturelles qui sont exploitées ne profitent qu’à une infime minorité de propriétaires, et (ou) à l’État, et à ses dirigeants, qui accaparent les revenus qui ne sont que peu affectés à des dépenses ou investissements collectifs.